MES PHOTOGRAPHIES VUES PAR
Jérôme de Noirmont :
Cher Monsieur,
Je tenais immédiatement à vous remercier pour ce magnifique ouvrage sur Paris. Ce livre, « Un chant pour Paris », est non seulement un recueil de poésie mais aussi un livre reproduisant de magnifiques photos sur le Paris que l’on aime.
Après notre rencontre à l’hôpital Necker il y a maintenant quelques années, j’espère que nous aurons une nouvelle occasion de nous revoir.
Jack Lang :
Monsieur,
J'ai eu grand plaisir à recevoir vos photographies réalisées lors de notre journée de solidarité avec le peuple syrien, le 24 février dernier. Cette manifestation fut un succès et je vous remercie chaleureusement d'y avoir contribué.
Soyez assuré que vos clichés seront transmis aux services compétents pour exploitation sur notre site internet ou tout autre support de communication de l'Institut du monde arabe.
Je vous prie, Monsieur, de croire à l'expression de mes sincères remerciements.
Anne Hidalgo :
Cher Philippe Barnoud,
C’est avec grand plaisir que j’ai reçu l’ouvrage collectif "Un chant pour Paris", que vous avez eu l’amabilité de me faire parvenir, accompagné de vos bons vœux.
Je vous remercie bien sincèrement de cette délicate attention qui m’a beaucoup touchée. Je me réjouis que ce recueil contribue au rayonnement de notre ville, en faisant découvrir l’âme de Paris à travers l’expérience sensible des poètes et de vos magnifiques photos.
Sachez que la confiance et le soutien que vous me témoignez, m’encouragent à porter toujours plus haut mon ambition pour que Paris soit une source d’inspiration pour tous les poètes et tous les artistes qui, comme vous, embellissent nos vies.
Vous pouvez compter sur ma détermination et celle de mon équipe, pour poursuivre la transformation de notre capitale, engagée dans l’intérêt des Parisiennes, des Parisiens et de tous les amoureux de Paris.
En vous adressant, à mon tour, tous mes vœux pour la nouvelle année, je vous prie de croire, Cher Monsieur, en l’assurance de mes salutations les plus cordiales.
Bruno Doucey :
Il arpente les rues avec le velours et l’acuité du chat. Il guette la présence des autres, saisit des instants de vie, capte la lumière, s’empare du mouvement.
Son nom ? Philippe Barnoud. Son métier ? Ni détective ni journaliste, ou les deux à la fois, Philippe Barnoud est photographe. La série qu’il présente me fait spontanément songer à deux photographes inoubliables. Comme le Leica de Cartier-Bresson, le regard de Philippe Barnoud enregistre, à la sauvette, le geste éphémère, l’expression unique, le sourire évanescent ; mais quelque chose en lui rappelle le Semflex de Brassaï dont la visée verticale disciplinait le regard.
Pourquoi ? Parce que l’artiste travaille l’image en studio, comme on écrit un livre, avec un souci permanent du cadrage, de la composition, des effets de lumière, des contrastes, de l’intensité plastique. Ses photographies en noir et blanc, font moins de lui un chasseur d’images qu’un dompteur d’émotions contenues. Philippe Barnoud ne mitraille pas son sujet, mais l’apprivoise, sans heurts, avec la patience tranquille d’un être qui accueille l’imprévu sans jamais oublier ce qu’il est venu chercher.